Tous les deux à trois ans, en mars, rempotez vos plantes : elles puisent peu à peu leurs réserves d’éléments nutritifs.
Les signes d’alerte
Les principaux : une croissance diminuée, des feuilles plus petites, voire jaunes, et surtout des racines trop à l’étroit, sortant par le trou de drainage.
Le contenant
Prenez un pot de 3 cm supérieurs au précédent en profondeur et en diamètre, muni d’un trou de drainage.
Avant de rempoter
Supprimez les feuilles jaunies et démêlez les racines à la main pour les écarter de la motte de terre. Trempez la plante en l’immergeant complètement dans l’eau. S’il n’y a plus de bulles, c’est que la motte est bien humide.
Les bons gestes
Assurez un bon drainage en mettant des billes d’argile ou graviers au fond du pot sur une hauteur de 2 à 5 cm. Replantez votre plante avec du terreau, de façon à ce que le haut de la motte se trouve un peu au-dessus du bord du pot. Tassez le dessus et arrosez abondamment toute la surface. Attendez un bon mois avant de fertiliser.
Le surfaçage
Une fois par an, en février ou mars, un surfaçage suffit pour les plantes difficiles à manipuler, en pot volumineux, type ficus, palmier, dracaena, yucca… Grattez le dessus avec une griffe et enlevez une partie du terreau en surface. Remplacez-le par du nouveau, associé à du compost ou un amendement organique.