Et si le concept de la psychologie positive n’était qu’une vaste foutaise ? Il ne s’agirait en tout cas pas du seul moyen de veiller à notre bien-être, contrairement à ce qu’on cherche parfois à nous faire croire. Comme le révèle une étude publiée par la marque Lululemon et menée auprès de 10.000 personnes, les pessimistes seraient en réalité tout aussi heureux que les fervents défenseurs de l’optimisme.
Et ce tout simplement parce qu’ils ont décidé de vivre en accord avec le fait que la réalité peut parfois être déprimante et qu’il ne faut pas toujours chercher à masquer cela pour “voir le bon côté des choses”. Faire de son pessimisme une force pour mieux affronter les périodes de crises, voilà une autre façon d’aborder le négatif, tout en préservant sa santé mentale, sans nécessairement se forcer à obéir à des doctrines qui prônent la positivité à tout prix.